2012 - 2016

dYnalec et la chasse aux gaspillages « le Lean »

p1188225

Dès le départ dYnalec s’engage sur le chemin du Lean, méthode de gestion de la production qui se concentre sur la « chasse aux gaspillages ». Ce concept est utilisé par dYnalec comme véritable levier pour cultiver la culture du juste ce qu’il faut, de la sobriété, de l’anti sur consumérisme. Voici les grandes étapes du lean suivi par dYnalec durant les 4 premières années de sa transformation.p1188225

Déployer un 1er chantier KAISEN, dès décembre 2012 était une condition préalable pour Fabrice AUDRAIN pour que l’acquisition de Dinalec, par tous, puisse se faire. L’objectif étant d’initier le changement en sensibilisant toute l’équipe face à ses nouvelles responsabilités sociétales et environnementales d’intrapreneur. Au-delà de l’idée de gain, c’est surtout sur le fait que « Tout ce qui n’est pas consommé, n’est pas à produire », et donc pas à prélever de notre mère Terre, que cette philosophie est déployée par dYnalec.

Le mot kaizen est la fusion des deux mots japonais kai et zen qui signifient respectivement « changement » et « meilleur ». La traduction française courante est « amélioration continue ». En fait, par extension, on veut signifier « faire mieux avec ce que l’on a déjà ». Il s’agit donc d’un chantier en lien avec l’amélioration continue des processus de création de valeur dans les entreprises. Mais pour dYnalec, c’est avant tout une philosophie qui tente à questionner nos actes de consommation.

Un 1er groupe de travail est constitué pour engager une analyse des flux internes et pour bâtir une proposition de plan d’actions au reste de l’équipe. La fonction de Lean manager est créée.

En novembre 2013 dYnalec candidate et est nominée au prix national des bonnes pratiques de l’AFQP. L’objectif : Montrer que la démarche de Qualité, si elle n’est pas détournée de son essence primordiale, peut être vertueuse et conduire dYnalec sur l’estrade pour cultiver la fierté d’appartenance.

Dans le but de se décloisonner et de se nourrir des autres, en décembre 2013, dYnalec débute ses premières visites d’entreprises afin de répondre à la nécessité du DEDANS/DEHORS et rester ainsi consciente de sa singularité.

Entre octobre 2014 et février 2015, toute l’équipe se forme pour devenir véritable Acteur du Progrès.

En décembre 2014 on assiste à la naissance du SMGI, le système de management des idées « un processus systématique d’incitation, de création, de collecte et d’évaluation des nouvelles idées ainsi que leur mise en œuvre dans l’entreprise. »

En novembre 2015, dYnalec engage son 1er chantier HOSHIN. Cette fois-ci, il s’agit de marquer et d’affirmer visuellement et organisationnellement les valeurs de dYnalec.

En janvier 2018, dYnalec est finaliste du Prix d’Excellence Opérationnelle de L’AFQP.